La RPA propose une stratégie d’automatisation de processus en limitant les coûts et l’impact sur le système d’information. Comment s’y prendre et avec quelles perspectives ?
Dans la grande famille des technologies d’automatisation, il est une lignée qui a la particularité d’engendrer rapidement du ROI, avec peu d’empreintes sur le SI. L’acronyme anglais RPA – que l’on traduit traditionnellement par automatisation robotisée des processus – s’est imposé pour la qualifier.
Toutefois, il s’agit moins d’intervenir sur les processus que sur les modes opératoires qui les composent. Comment ? À grand renfort de robots logiciels qui assistent les humains dans des tâches informatisées ou les effectuent à leur place. La RPA se prête particulièrement aux tâches définissables, répétitives, fondées sur des règles simples et des éléments structurés. Par exemple, les opérations de collecte, de vérification et de saisie de données qu’effectuent les fonctions support. L’approche « classique » consiste à transformer une interface utilisateur en interface machine …